We leaf to snug on no need. Sitting hearted on it without me. Mirth learn it he

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Il y a quelques années, une enquête a suggéré que Facebook était responsable d’un tiers de tous les divorces du pays.

Au centre de ce scandale, un site de rencontres populaire qui a aidé les conjoints à tromper, à envoyer des messages directement sur Instagram, la montée en popularité de Snapchat et le nombre croissant de rencontres applications. Nous sommes bien entendus soumis à plus de possibilités d’être infidèle qu’auparavant.

Mais la capacité de tromper grâce aux médias sociaux est-elle responsable ou rend-elle plus facile pour les personnes infidèles de s’égarer. Nous avons posé cette question à un groupe de personnes et voici ce qu’elles nous ont répondu.

Question: Est-ce que Facebook et d’autres plateformes de réseaux sociaux provoquent l’infidélité?

Marc, 34 ans: Les gens sont comme des fusils. L’arme ne tue pas les gens, c’est juste un instrument. Les gens sont ceux qui la chargent, visent, et appuyent sur la gâchette. Ils sont pleinement conscients de ce qui va se passer quand ils font ces choses là. Les réseaux sociaux ne sont pas la cause de l’infidélité, les personnes sont les vraies responsables. Ce sont ceux qui prennent la décision consciente d’être infidèles à leur conjoint.

Chelsea, 25 ans: Un lycéen l’me suivait sur les réseaux sociaux. Les choses ont commencé a bien évolué, mais sont devenus trop intenses très rapidement. Il a commencé à me chercher sur LinkedIn, ce n’est donc pas seulement sur Facebook que cela peut se produire. Tous les sites de réseaux sociaux ont des méthodes pour interconnecter vos comptes. Je doute fortement avoir eu ce genre d’aventures s’il avait du passer en revue piles d’annuaires téléphoniques à la recherche de mon numéro.

Trevor, 41 ans: la tromperie de mon ex-femme a commencé sur Facebook. Elle a renoué avec un ancien camarade de lycée à travers une page de son lycée. Cela a conduit à cette tromperie. Je ne blâme pas Facebook pour le divorce, mais c’était l’outil qui a été utilisé pour rendre la tromperie plus facile.

Kay, 36 ans: Je ne sais pas si Facebook est la cause de l’infidélité, mais c’est juste une nouvelle méthode de tromperie. Rien d’étonnant au fait que Facebook ait été cité comme une raison de divorce. Il y a des preuves physiques écrites de l’infidélité qui peuvent être utilisées dans les affaires judiciaires. Avant l’habitude était aux lettres d’amour, elle est maintenant aux messages instantanés, aux emails et aux commentaires.

Lucas, 30 ans: J’ai découvert que mon fiancé parlait encore à son ex-petit ami juste en lisant ce qu’il allait écrire sur ses photos et sur son mur.

Francine, 43 ans: Ce n’est pas la cause, mais c’est juste une autre façon de faciliter les choses. Nous pouvons commencer comme amis, mais il est facile d’évoluer vers quelque chose d’autre – en particulier lorsque les messages privés sont échangés. C’est un moyen facile pour les gens de créer une liaison avec l’autre et au fil du temps, ça peut devenir quelque chose de plus que de simples “amis”.

Shelly, 51 ans: J’ai bien cherché pendant un certain temps et j’ai eu un certain nombre de relations. Mon ex-femme était plus jeune que moi, et elle était à l’aise avec l’utilisation d’internet et des médias sociaux, ce n’était pas mon cas. À cause de cela, elle a eu d’innombrables aventures, et je ne le savais pas parce que je n’étais pas en ligne pour voir ce qu’elle disait à d’autres personnes et ce qui était dit sur elle. Inutile de dire que je suis maintenant sur les réseaux sociaux, et je suis plus conscient des interactions en ligne de ma partenaire.